
Je n’aime que la musique triste
Adrien Durand
Le 24 février 2021 – Editions Le Gospel
Citations de presse :
“Cultiver une dichotomie entre celui qui écoute, dissèque, disserte, théorise la musique depuis des années et les épiphanies musicales passées, c’est tout l’enjeu de cet ouvrage aussi anecdotique qu’essentiel écrit quasi sans retouches pendant les confinements successifs. Un oxymore en soi.” – Les inRocks
“Véritable recueil d’amoureux de la musique, Je n’aime que la musique triste a beau être intégralement rédigé à la première personne, il résonne avec une étrange familiarité aux yeux (et aux oreilles) de tout le monde, et se lit d’une traite” – Goûte mes disques
“C’est un livre plein d’honnêteté sur le milieu musical, sa frénésie, son absurdité, l’énergie qu’on y consacre, sa manière de nous absorber – au point de nous bouffer
(souvent/parfois) et de conditionner nos vies” – Maze
France Inter

Ceci n’est pas un livre triste sur la musique triste.
C’est une collection de textes qui confrontent souvenirs, réflexions et symboles naviguant autour d’un
attachement totalement subjectif à la musique mélancolique. L’écriture y est abordée comme une discussion, passée un certain stade de la nuit, quand le cerveau ne se force plus à faire le tri entre les choses futiles et importantes. Et quand il ne s’inquiète plus des conventions sociales.
Ce n’est ni du journalisme musical, ni de l’autofiction. Ce n’est pas non plus une remise en question de la position de critique et fan. Ou peut-être tout ça à la fois.
Ce livre est surtout une forme de célébration de notre lien émotionnel et animal à la musique, où se croisent le rap français, Patti Smith, Gil Scott Heron, Cindy Lauper ou encore Harold Budd, Deftones, l’ambient japonais, Serge Gainsbourg et la pop cantonaise.

Adrien Durand
Je suis un loser baby
Le 1er juillet 2021
Editions Le Gospel
Citations de presse :
“Après Je n’aime que la musique triste, il se livre sans amertume aucune, en quelques courts chapitres, à une autopsychanalyse à partir d’anecdotes personnelles ou de figures underground pour se défaire des poses dans lesquelles il a adoré se complaire, comme chacun de nous. Touchant.” – Télérama
“Au fil de ces 17 textes courts, Adrien Durand tente d’éclaircir la subjectivité qui règne autour de la notion de réussite, différente selon chacun malgré le diktat d’une société actuelle qui fait tout pour l’uniformiser.” – Mowno
“Adrien Durand raconte les soubresauts d’une époque ou l’artiste-loser jouissait d’un magnétisme sur une jeunesse qui allait vite déchanter. Le milieu de la musique en prend pour son grade tout en conservant un soupçon d’humanisme. Une génération désabusée pour une époque qui ne l’était pas moins. Place désormais aux winners.” – Benzine

Quelques mois après Je n’aime que la musique triste, Adrien Durand publiera le 1er juillet Je suis un loser baby, en finir (ou pas) avec les années 90, nouveau livre au même format : 17 textes courts, bruts, écrits au fil de l’eau ces derniers mois. Ce recueil constitue une nouvelle expérience sur la mémoire et nos attachements collectifs à la musique et à l’Art.
« Ces derniers mois, je ne me suis jamais autant demandé ce que voulait dire « réussir dans la vie ». Comment fait-on quand on a été comme moi bercé par une certaine mythologie de la lose et les illusions de la contre-culture, pour évoluer dans un monde actuel obsédé par la réussite et le marketing de soi-même ?
Pourquoi est-ce qu’on est autant attaché à certains artistes au point d’en faire des phares et des leaders dans notre vie? Pourquoi est-ce que je cherche encore à 38 ans des éléments de réponse à mes questionnements existentiels dans des chansons pop et des vieux films ?
J’ai remonté le fil de ma mémoire et de ma culture (musicale mais aussi artistique et cinématographique) pour me confronter à ces questions. Et en finir, peut-être avec la nostalgie, les slackers, les arrivistes, l’obsession de la réussite, l’auto-sabotage, l’auto-analyse, l’auto-fiction…ou pas ».
Vous y croiserez des clochards et des héritiers, des chanteurs de neo-metal et des cannibales, des rats et des boxeurs, Cat Power et Fugazi, Kurt Cobain et Bret Easton Ellis, Paul Schrader et Evan Dando, Dinosaur Jr. et Swans, Vincent Gallo et Courtney Love, du jazz éthiopien et les poubelles du Chelsea Hotel… et bien d’autres choses encore.